quelle fantaisie dans ses intermèdes, qui sont parfois une petite pièce s’enchassant dans la grande ! […] Il change de lexique à chaque pièce. […] Et Molière même, allez-vous le trouver dans toutes ses pièces ? […] Son temps n’était pas celui des pièces à thèses. On mettait sur la scène des hommes et non des théories, et les pièces n’y perdaient pas, ni les spectateurs non plus.