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71. (1852) Légendes françaises : Molière pp. 6-180

Mais j’ai cru qu’il fallait en user de la sorte avec vous, et que c’est consoler un philosophe que de lui justifier ses larmes, et de mettre sa douleur en liberté. […] Il s’en va prendre conseil de deux philosophes. […] « - Tu as raison,s’écrient les autres, ce monde-ci est indigne de philosophes comme nous. […] Est-ce la nuit comme des gens sans cœur ou désespérés, que se doivent noyer des philosophes ? […] Qu’il parte, qu’il soit chassé ; et que la femme, laissant là son rôle de philosophe, revienne aux soins de sa famille !

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