Le hasard seul a-t-il associé ainsi par la mort cet inconnu à de personnages qui vécurent dans l’intimité de Molière, et le défunt n’avait-il jamais approché, connu, aimé, applaudi, fêté, comme eux et peut-être avec eux, ce même Molière, si populaire alors dans le Bas-Languedoc ? […] Ganarel s’y dit et s’y disait, comme s’y disait et s’y dit cet autre mot, dont Molière n’a pas moins fait sans aucun doute le nom d’un de ses personnages : mascarillo, barbouillé11.