A dater de 1818, plusieurs souscriptions furent, il est vrai, successivement proposées, mais toutes se perdirent dans les embarras du temps. […] Enfin, si tu vivais de nos jours, ô Molière, Tu maudirais surtout, de ta voix rude et fière, L’amour de l’or, ardente et vile passion Qui consume et qui perd la génération !