Bobèche perdit tout, en perdant ses tréteaux ; il perdit sa gaieté, il perdit sa verve imprudente, il perdit la liberté de son sarcasme, il fut soumis à la censure comme eût pu l’être un sénateur, il fut oublié le jour même où il ne fut plus qu’un jocrisse. […] l’infortuné perd le fil de sa douce gaieté ; et il se jette à tête perdue, dans les cent mille détours de ses diverses comédies ! […] — Notre jeune homme l’a perdue de vue ? […] Tout n’est pas perdu, nous aurons encore de la comédie ! […] Il n’y a que les honteux qui perdent.