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17. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393

Bobèche perdit tout, en perdant ses tréteaux ; il perdit sa gaieté, il perdit sa verve imprudente, il perdit la liberté de son sarcasme, il fut soumis à la censure comme eût pu l’être un sénateur, il fut oublié le jour même où il ne fut plus qu’un jocrisse. […] l’infortuné perd le fil de sa douce gaieté ; et il se jette à tête perdue, dans les cent mille détours de ses diverses comédies ! […] — Notre jeune homme l’a perdue de vue ? […] Tout n’est pas perdu, nous aurons encore de la comédie !  […] Il n’y a que les honteux qui perdent.

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