Moliere a bravé les partis des Beaux-Esprits, des Prudes, des Femmes Savantes, des Tartufes, tous réunis contre lui : il les a attaqués & combattus avec une noble audace, dont on ne sauroit assez le louer ; mais il se fût perdu s’il eût été au-delà du ridicule des Marquis. […] A cet hymen si je donnois les mains, Abandonné dans ma vieillesse, Réduit à cet état dont j’ai cent fois frémi, Je vivrois seul, & mourrois de tristesse, De perdre en même temps ma fille & mon ami...