/ 230
138. (1873) Molière, sa vie et ses œuvres pp. 1-196

Peine perdue ! […] Perdu de dettes, sans honneur et sans foi, il traîne misérablement une misérable vie. […] Un autre portrait de Molière, plus intéressant parce qu’il est plus intime, est le portrait, aujourd’hui perdu, que peignit Mignard et que grava Nolin en 1685. […] » L’œuvre ne fut pas achevée, et elle est malheureusement perdue, mais l’esprit indépendant, ennemi de toute tyrannie, de Molière, est épars dans le théâtre entier de ce grand homme. […] À ce jeu, une nation perdrait, en moins de cent ans, son originalité et son génie.

/ 230