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125. (1730) Poquelin (Dictionnaire historique, 4e éd.) [graphies originales] pp. 787-790

Aussi-tôt qu’il se sentit en cet état, il tourna toutes ses pensées du côté du ciel : un moment après il perdit la parole, & fut suffoqué en demie heure par l’abondance du sang qu’il perdit par la bouche2 ». […] Elle contrefit du mieux qu’elle put la personne affligée, mais tout ce qu’on employa ne servit de rien : il mourut en fort peu d’heures, après avoit perdu tout son sang, qu’il jettoit avec abondance par la bouche3 ».

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