Au bruit du marteau, sa parole habituelle sort automatiquement de sa bouche: « Ne perdons point de temps ; c’est ici (Il frappe). […] Son procès a été perdu, et il se félicite de ce résultat. […] Les sentiments qui l’inspirent parlent en ce moment plus haut dans son esprit que la voix de sa passion, ce qui n’avait pas lieu lorsqu’il désirait perdre son procès pour avoir le droit de haïr davantage le genre humain. […] fasse le ciel équitable que ce penser soit véritable et que pour mon bonheur elle ait perdu l’esprit ! […] je suis perdu. » Cette scène est d’une vérité parfaite, elle signale admirablement les impossibilités morales.