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217. (1847) Le Don Juan de Molière au Théâtre-Français (Revue des deux mondes) pp. 557-567

Molière, comme on sait, et après lui Mozart, n’ont pas admis dans leurs drames ce second repas, sans doute parce qu’ils ont pensé que l’emploi redoublé d’un ressort surnaturel ne peut avoir qu’un effet languissant sur l’imagination.

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