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169. (1819) Introduction aux œuvres de Molière pp. -

À travers l’exagération de ses discours, je discerne ce qu’ils sont les uns et les autres ; d’après le mal même qu’elle en dit, je vois le bien qu’il faut que j’en pense. […] Que Corneille ait été jaloux de Racine, comme on l’a dit aussi, bien qu’il soit pénible de le penser, il est aisé de le concevoir. […] Il appartient à l’univers ; il appartient à l’éternité. » On pense bien que nos comédiens n’eurent rien à répliquer. […] Il est cent fois plus naturel de penser qu’il y eut négligence de la part du prêtre, rédacteur de l’acte. […] Les académiciens présens ont promis de penser chacun de leur côté à cet objet, et de proposer leurs inscriptions, entre lesquelles l’Académie choisira celle qui lui paraîtra la plus convenable.

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