/ 232
145. (1862) Corneille, Racine et Molière (Revue chrétienne) pp. 249-266

Les héros de Corneille sont tout simplement des hommes qui pensent et qui veulent ; ils ne doivent représenter ni l’humanité, ni une phase de son développement ; ils ne valent que par eux-mêmes. […] Il n’a pas l’air de penser que la nature, en leur donnant une intelligence aussi bien qu’aux hommes, les ait appelées par cela seul à la cultiver. […] C’était, du moins pouvait-on penser ainsi, un libertin qui jouait la fausse dévotion, mais non pas au profit de la bonne.

/ 232