« Pour elle » est un mot pour le tribunal ; mais la pensée d’Horace et la pensée de la pièce, c’est évidemment : Voyez ! […] Remarquez-vous que là où une pensée religieuse serait à sa place dans son texte elle n’y vient jamais ? […] Ailleurs : « Il faudrait avoir établi que les discours de Cléante sont l’expression de la vraie pensée de Molière. […] Molière ferait dire par Martine, comme étant sa pensée à lui, que le mari « ne doit savoir A ni B ». […] sans doute ; mais alors, que devient Martine, représentant la pensée de Molière et héraut, pour Molière, de l’auguste et sainte nature ?