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4. (1870) La philosophie dans le théâtre de Molière (Revue chrétienne) pp. 326-347

Le langage vulgaire eût été sans doute indigne, sinon incapable, d’exprimer des pensées aussi profondes. […] Voilà la grande, la généreuse pensée que l’on découvre dans son œuvre, et non pas seulement dans les quelques fragments que je viens de citer. […] Quelle est donc alors la pensée de Molière ? […] Cette pensée remplit tout son théâtre : il n’en est même, dirai-je, que la forme dramatique. […] Cette séparation complète, tranchée entre les deux moitiés d’une môme pensée, trop commune à cette époque, Gassendi au reste ne fait aucune difficulté à l’avouer.

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