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17. (1819) Notices des œuvres de Molière (I) : L’Étourdi ; Le Dépit amoureux pp. 171-334

Molière qui, en général, pèche souvent par l’expression, ne pèche jaunis par la pensée et les plus grandes corrections dont ses ouvrages fussent susceptibles, se borneraient presque toujours à de simples changements de mots. […] Le style de L’Étourdi est animé d’une verve comique que ne comportait pas Le Dépit amoureux ; mais la diction de ce dernier ouvrage, quoique chargée encore d’un assez grand nombre d’incorrections et d’impropriétés, est cependant un peu plus exacte, et parait surtout avoir obéi plus facilement à la pensée de l’auteur. […] Horace a imité la pensée de Térence, en l’abrégeant : …… In amore hæc sunt mala :bellum,      Pax rursum.

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