Stukéli a su que la fortune rit à Béverley, il vient le féliciter, lui conseille de ne plus jouer, & tâche de lui en faire naître l’envie par une peinture séduisante des heureux retours du sort : il l’entraîne chez Vilson en lui disant qu’il y trouvera les personnes auxquelles il doit.