« L’École des Maris et l’École des Femmes sont d’admirables tableaux de mœurs, des peintures du réalisme le plus saisissant. […] Cette remarquable peinture du jeu des passions fait comprendre la facilité avec laquelle elles s’emparent de l’esprit en y étouffant momentanément tous les sentiments moraux, en ravissant ainsi à l’homme le bon sens et la raison. […] La scène v de l’acte III, entre Arsinoé et Célimène, présente une admirable peinture de mœurs et une excellente leçon de psychologie. […] Cette peinture de la folie chez l’homme en santé n’a rien d’exagéré. […] Bien plus, il a réussi autant dans la peinture des caractères féminins que dans celle des caractères masculins.