C’est, me dira-t-on, la critique d’un travers ou d’un vice, avec la peinture des ridicules ou des malheurs qu’ils entraînent, selon leur nature. […] Je demande encore si la peinture d’un vice n’est pas plus ou moins morale, selon que les malheurs qu’il entraîne sont plus ou moins effrayants : on est forcé de convenir de cette vérité.