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4. (1848) De l’influence des mœurs sur la comédie pp. 1-221

Le caractère du méchant, plus que celui du métromane, prêtait à la peinture des mœurs. […] Par malheur, la peinture de ces revirements subits, véritable bonne fortune pour les auteurs comiques, leur fut interdite. […] La peinture des mœurs n’est pas un des moindres mérites de cette belle comédie ; elle les reproduit fidèlement dans ses principaux personnages et dans ses détails. […] S’ils lui sont pardonnés, ce sera, sans contredit en faveur de la fine peinture des mœurs et des caractères que souvent on y rencontre. […] Si donc la peinture des mœurs est abandonnée ou négligée, ce n’est pas dans l’amour du public pour l’extraordinaire et la fiction qu’il faut en chercher la cause.

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