Il n’avait d’autre objet que de les peindre, estimant que d’une peinture exacte de la vie il se dégage la seule moralité que l’on puisse demander à l’art. […] Scherer reconnaîtra bien que si l’on exposait au Salon de peinture et, à plus forte raison, dans un de nos cercles parisiens, telle toile de fond, qui est un chef-d’œuvre, illuminée des feux de la rampe, elle ferait pauvre figure dans ce nouveau milieu. […] C’est comme si de notre temps un bon bourgeois du Marais s’en allait dire en parlant de son neveu qui s’émancipe à faire de la peinture : « Il faut décidément que ce garçon-là ait une araignée dans le plafond. » Il est bien entendu que je ne donne pas comme vraie et prouvée l’observation de mon ami Lavoix.