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111. (1882) L’Arnolphe de Molière pp. 1-98

Il n’entendait rien en peinture, non plus qu’en musique, et cela lui était égal. […] Et pourtant ce mécréant en peinture, une fois devant sa glace, savait se faire une tête qui était une œuvre de maître ; et quand il entrait en scène, la perruque était peut-être de travers et le costume incomplet, mais l’homme y était ; et il n’avait qu’à parler, et l’homme vivait, vivait et charmait.

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