Quand elle se croit ruinée, elle n’en persiste pas moins à marier sa fille avec Trissotin, le supposant assez généreux pour ce sacrifice qu’elle ferait sans peine : Son bien peut nous suffire et pour nous et pour lui17. […] Ce défaut n’est pas dans les femmes un effet de la nature ; elles ne naissent pas pédantes, elles le deviennent ; il y faut la contagion de l’exemple, une époque infectée de bel esprit, du soin, de l’application, de l’étude ; car ce n’est pas sans peine, dit La Bruyère, qu’elles arrivent à plaire moins.