Faute d’écrire, je me donne la double peine de trouver du nouveau. […] Mais ne faites donc point les choses avec peine ; Et regardez un peu les gens sans nulle haine. […] Molière qui, pour faire plus vite, tourne souvent en maxime, manière avec laquelle il transporte dans la comédie ses pensées de philosophe toute crues sans se donner la peine de les accorder au caractère, se garde bien d’en user ainsi, dans un endroit où il faut la plus grande justesse de nuance. […] Je les écris pour m’éviter la peine de les réinventer, ce que j’ai fait au moins deux ou trois fois. […] Cela ne vaut presque pas la peine d’être dit.