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105. (1873) Molière, sa vie et ses œuvres pp. 1-196

Peine perdue ! […] Il conte ses peines au plus déterminé de ses ennemis, au Napolitain Sbrigani, drôle de sac et de corde, qu’il prend pour l’honneur même et le plus dévoué des amis. […] Mais il savait que la mère avait d’autres vues, qu’il aurait de la peine à déranger. […] Mais ma femme, toujours égale et libre dans la sienne, qui serait exempte de tout soupçon pour tout autre homme moins inquiet que je ne le suis, me laisse impitoyablement dans mes peines ; et occupée seulement du désir de plaire en général, comme toutes les femmes, sans avoir de dessein particulier, elle rit de ma faiblesse. […] Pauvre, il avait peine à faire face à ses engagements de vieux et bon bourgeois et de commerçant honnête.

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