paie la dette de ton prince ! […] À ce prix terrible s’achetait la vraie gloire, et les avides ne trouvaient pas quelle fût trop payée ! […] C’est tout simplement la colère d’une maîtresse de maison qui paie bien ses gens, et qui est mal servie. […] Ce n’est pas là le propre d’une femme qui paie son amant. […] Quand il a dit toutes sortes d’impertinences et bien d’autres, notre chevalier s’en va pour faire la cour à deux jeunes personnes qui ressemblent à Cathos et à Madelon ; il entre, le cocher de fiacre veut être payé ; le vicomte prie Colombine de payer pour lui. — Molière est moins hardi que Regnard ; c’est le marquis de Mascarille qui paie lui-même ses porteurs.