/ 146
108. (1885) La femme de Molière : Armande Béjart (Revue des deux mondes) pp. 873-908

Marie Hervé promettait de donner à sa fille, « la veille des épousailles, la somme de 10, 000 livres tournois, dont un tiers entrerait dans la communauté et les deux autres tiers demeureraient propres à la future épouse et aux siens de son côté et ligne. » On sait ce qu’il faut penser de cette dot, et pourquoi, si elle a vraiment été payée, elle dut venir de Madeleine Béjart ou de Molière lui-même. […] Aussi notre auteur fait-elle d’Armande une vraie Messaline, et une Messaline du dernier ordre, de celles que l’on paie.

/ 146