que tu es ivre, mon pauvre garçon !. […] je crois, Dieu me pardonne, que c’est votre frere, Madame, dont il y a si long-temps qu’on n’a eu des nouvelles : ce pauvre Charlot !
que tu es ivre, mon pauvre garçon !. […] je crois, Dieu me pardonne, que c’est votre frere, Madame, dont il y a si long-temps qu’on n’a eu des nouvelles : ce pauvre Charlot !