Sans cela, plus de combats dans l’esprit du Glorieux, entre sa vanité & la nécessité d’épouser un riche parti ; plus de morgue dans le financier qui, malgré sa roture, prétend, graces à sa fortune, avoir le droit de traiter de pair à compagnon un pauvre gentilhomme ; plus de scenes comiques & morales entre eux deux. […] un gros abbé fait la partie d’une financiere : la Fortune va distribuer à son gré des monts d’or ; une carte va décider si les pauvres du prieuré de M. l’abbé mourront de faim cet hiver, & si un jeune chevalier qui fait la cour à la dame aura un régiment. […] Mon pauvre petit cœur, tu le peux, si tu veux. […] Mais qui vous a rendu si pauvre ? […] Mais qui vous a rendu si pauvre ?