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157. (1850) Histoire de la littérature française. Tome IV, livre III, chapitre IX pp. 76-132

On battait des mains à ces spirituelles boutades de Tircis contre les mariages d’amour : Pauvre amant, je te plains, qui ne sais pas encore Que, bien qu’une beauté mérite qu’on l’adore, Pour en perdre le goût, on n’a qu’à l’épouser. […] Il veut aller lui-même chasser l’infâme ; mais Isabelle lui persuade qu’il est plus séant qu’elle renvoie sa sœur, et qu’il se tienne caché, pour ne pas ajouter à la confusion de la pauvre fille.

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