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104. (1840) Le foyer du Théâtre-Français : Molière, Dancourt, I pp. 3-112

Pauvre Perrault ! […] Je ne suis pas dupe davantage de sa générosité ; s’il donne un louis d’or à un pauvre, c’est après de lâches épreuves et par ostentation. […] Il n’en restait pas un aux pauvres citadins jusqu’au printemps nouveau, .époque du départ des militaires. […] Et que dit le pauvre auteur de ce quatrain-là ? […] Le pauvre M.

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