Sotte condition que celle d’un esclave, de ne vivre jamais pour soi, & d’être toujours tout entier aux passions d’un maître, de n’être réglé que par ses humeurs, & de se voir réduit à faire ses propres affaires de tous les soucis qu’il peut prendre ! […] Sotte condition que celle d’un esclave, De ne vivre jamais pour soi, Et d’être toujours tout entier Aux passions d’un maître, D’être réglé par ses humeurs, Et de se voir réduit à faire Ses propres affaires De tous les soucis qu’il peut prendre.