Le personnage d’Arnolphe est un chef-d’œuvre de passion et de ridicule. […] Il fallait qu’Agnès, échappant à la passion tyrannique d’Arnolphe, devînt la récompense d’un autre amour, et que, par conséquent, elle fût digne, à tous égards, de l’affection d’un galant homme.