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121. (1865) Les femmes dans la comédie de Molière : deux conférences pp. 5-58

Elle essaye de brouiller Henriette avec Clitandre et d’exciter contre tous les deux les passions de Philaminte. […] Ce qui domine dans l’une, c’est la passion et le plaisir, et dans l’autre la vanité et la légèreté. […] Avec quel sang-froid et quel art du monde Célimène improvise une histoire pareille où, sans paraître y toucher, elle met à jour les secrètes passions et l’envie de la prude ! […] Si elle avait été moins séduisante, elle n’aurait peut-être pas inspiré à Tartuffe la passion qui le perd.

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