Mais enfin je connus, ô beauté toute aimable, Que cette passion peut n’être point coupable, Que je puis l’ajuster avecque la pudeur, Et c’est ce qui me fait abandonner mon cœur. […] Enfin il en est du dialogue comme de la diction, à laquelle il tient si bien, qu’on les a souvent confondus : il doit prendre, comme elle, le caractere des interlocuteurs, de leur état, de leur situation, de leurs passions, de leurs intérêts.