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48. (1819) Notices des œuvres de Molière (III) : L’École des femmes ; La Critique de l’École des femmes ; L’Impromptu de Versailles ; Le Mariage forcé pp. 164-421

Un des détracteurs les plus acharnés de l’ouvrage, de Visé, a dit : « Jamais comédie ne fut si bien représentée, ni avec tant d’art : chaque acteur sait combien il y doit faire de pas, et toutes ses œillades sont comptées. » Ce passage prouve quelle importance et quel soin Molière mettait à la représentation de ses ouvrages. […] Le Peintre était Molière ; et, à son nom près, rien de ce qui pouvait le désigner n’avait été omis dans Le Portrait ; on y parlait de son École des femmes, de sa Critique ; et des passages de ces deux pièces étaient malignement commentés ; enfin, on outrageait en lui l’auteur ; et l’homme même n’était pas entièrement épargné. […] Le passage est trop curieux pour qu’on ne me pardonne pas de le rapporter ici.

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