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47. (1868) Une représentation de M. de Pourceaugnac à Chambord. Examen de deux fragments inédits paraissant appartenir à l’œuvre de Molière (Revue contemporaine) pp. 700-722

La relation de cette fête de Versailles est donnée dans quelques éditions de Molière, mais je ne sache pas qu’on ait tiré, des passages se rapportant à Georges Dandin, la preuve que cette comédie a été corrigée par Molière avant qu’il la fît représenter à Paris. […] Enfin, un de ses amis lui conseille de noyer dans le vin toutes ses inquiétudes, et l’emmène pour joindre sa troupe, composée des bergers célébrant Bacchus et l’Amour. » Certains passages de cette relation des fêtes de 1668, ceux que j’ai transcrits, tranchent sur le reste de la rédaction ; ils doivent être tirés du Livret distribué et peuvent être de la main de Molière.

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