On est Français ; on paie ses impôts ; on sait qu’une partie de ces impôts est destinée à soutenir la Comédie-Française et l’Odéon, à entretenir le Conservatoire, qui est une pépinière d’artistes pour ces théâtres nationaux : voilà une dépense qu’on approuve ! […] Nulle partie n’en est méprisable, nulle sans doute n’est négligée : que dire de la principale, qui se compose des offices de la trinité elle-même, admirés par tout l’univers ?