Aussi de Pure dit-il dans ce même roman, publié en 1656, que le mot de précieuse « est un mot du temps, un mot à la mode, qui a cours aujourd’hui, comme autrefois celui de prude ou de feuillantine, et qui s’applique à certaines personnes du beau sexe qui ont su se tirer du prix commun, et ont acquis une espèce et un rang tout particulier. […] Les ministres donnaient aussi des audiences particulières dans la ruelle de leur lit, mais sans y être couchés.