Le Lieutenant Particulier qui, pour les intérêts de son inimitié, avoit besoin de la mort de Pivardie, s’obstine à ne pas vouloir le reconnoître ; il est enfin forcé de se rendre à des preuves convaincantes. […] L’Auteur a su composer un sujet de tous les temps avec deux faits particuliers : ils étoient naturellement tristes, il en a fait une piece pleine de gaieté. […] D’Ancourt n’a pas été aussi heureux toutes les fois qu’il a voulu mettre en action des faits particuliers.