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87. (1885) Études sur la vie et les œuvres de Molière pp. -461

Mais voilà qu’ils se séparent : le dépit éclate dans leurs paroles et sur leurs visages. […] Que fait, en effet, don Juan, aussitôt après qu’il a jeté son louis au Pauvre, avec cette parole ? […] Je le regrette, car cette parole si sincère ne dut que se frelater, en passant par la bouche emmiellée de l’hypocrite. […] Il tint parole. […] Du temps de Molière, quand lui-même jouait le rôle, en joignant l’action à la parole, c’était différent.

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