Les Français aussi sont pathétiques sous ce rapport, et leur éloquence des passions n’est pas toujours un simple fatras de paroles, comme nous le croyons souvent, nous Allemands, avec notre habitude de concentration profonde, qui nous fait presque regarder comme une injure faite à nos sentiments de les exprimer par des formes variées… L’homme dans lequel se manifeste le sentiment pathétique doit en être rempli et pénétré, mais en même temps être capable de le développer et de l’exprimer convenablement… On a apposé Voltaire à Shakespeare.