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196. (1886) Molière, l’homme et le comédien (Revue des deux mondes) pp. 796-834

Donneau de Visé, dans sa comédie de Zélinde, fait ainsi parler un marchand de la rue Saint-Denis : « Élomire n’a pas dit une parole. […] » On dirait autant de coups de fouet ou de bride pour maintenir un attelage indocile ; la parole est saccadée, fiévreuse ; le geste et l’allure devaient être à l’avenant.

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