/ 211
13. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXII » pp. 355-377

En ce qui regarde le fait de la séparation, madame de Caylus se borne aux paroles suivantes : « Ces deux amants, pressés par leur conscience, se séparèrent de bonne foi, ou du moins ils le crurent. […] Voici ses paroles : « Je n’ai jamais eu tant d’envie de vous voir que dans cette affaire-ci. […] Et quel style, quelle transparence, quelle modestie dans les paroles qui voilent le fond de la pensée. […] Aussitôt que Louis XIV l’aperçut, il lui adressa ces paroles accablantes : Ne me dîtes rien ; j’ai donné mes ordres pour qu’on prépare au château un logement pour madame de Montespan. […] Il est certain que l’ami de Quantova (le roi) dit à sa femme et à son curé par deux fois : Soyez persuadés que je n’ai pas changé les résolutions que j’avais en partant ; fiez-vous à ma parole, et instruisez les curieux de mes sentiments116. » 31 juillet.

/ 211