Je parlerai d’abord du concours général. […] Comme on se parle pour s’entendre, et que plus on est de gens à se parler, plus s’entendre est chose difficile, au travail de chacun oui succéder le travail de tous pour se faire un langage commun. […] Je passe au second travail dont j’ai parlé : celui de la société choisie, c’est-à-dire de bonnes mœurs, de bon ton, de bon goût. […] De là naquit la diversité des tons, des styles, des formes de langage qui s’approprièrent à tous les usages de l’art de parler et de l’art d’écrire. […] Déjà on sentait la nécessité de s’exprimer comme il convient à la chose dont on parle, â celui qui en parle, à ceux devant qui on en parle.