Parlez, parlez. […] Ne voit-on pas que c’est son personnage qui parle ? […] Ainsi parle Araminte à Climène ; et Lysidas opine du bonnet. […] Cette première infidélité, dont je viens de parler, ne date que de la Princesse d’Élide, qui est de 1664. […] Et pourtant ce mécréant en peinture, une fois devant sa glace, savait se faire une tête qui était une œuvre de maître ; et quand il entrait en scène, la perruque était peut-être de travers et le costume incomplet, mais l’homme y était ; et il n’avait qu’à parler, et l’homme vivait, vivait et charmait.