Le prologue de Lysiscas endormi, que l’on réveille, et qui se rendort toujours en parlant, me paraît la scène la plus plaisante de là pièce ; la première scène du quatrième acte, dans laquelle Euriale et la princesse se trompent tous les deux par amour, et veulent se persuader qu’ils sont insensibles, est la seule jolie de la pièce.