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23. (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269

Mon travail parut dans l’Univers, et il eut le fruit que je pouvais prévoir. […] Dès qu’il parut en chaire, la foule courut à lui. […] Il parut tout de suite entier et complet. […] Quelque heureux qu’ils parussent, combien leur manquait-il de choses pour l’être ? […] Paraîtrai-je trop indulgent ?

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