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181. (1881) Molière et le Misanthrope pp. 1-83

Et lui-même, paraît-il, aurait été jusqu’à remercier Molière et à l’embrasser pour la beauté du portrait, — tout en le déclarant flatté. […] … quel est donc le trouble où je vous vois paraître ? […] Efforcez-vous ici de paraître fidèle Et je m’efforcerai, moi, de vous croire telle ! […] Si cette page vous paraît si digne de foi, pourquoi rejetez-vous les autres ? […] je le déclare, je ne trouve rien de plus agaçant que la perpétuelle préoccupation de personnalité dont nos écrivains d’aujourd’hui remplissent leurs ouvrages et rien ne me paraît plus contraire au génie de nos pères, et j’oserai ajouter, au génie de notre pays.

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