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18. (1845) Œuvres de Molière, avec les notes de tous les commentateurs pp. -129

Il tirait le licou de toute sa force ; l’âne n’obéissait point, et voulait absolument paraître. […] Je savais aussi qu’il en avait quelques-unes entières qui n’ont jamais paru. […] Beauval lui parut être cet homme rare. […] Il paraît que Racine fut le seul écouté. […] Cette seconde Vie de Molière, dont je suis loin de contester le mérite, parut en 1825.

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