Les grâces parurent encore sous les empereurs, mais elles parurent seules, car la majesté des paroles se perdit avec la liberté. » L’auteur rapporte les paroles de Cassius à Brutus avant les ides de mars : « Ces paroles, madame, sont les dernières que prononça la république avant de rendre l’âme… C’était le caractère de l’esprit de Rome, citait la langue naturelle de la majesté. » L’auteur finit par des observations sur les monuments qui restent de la conversation et des mœurs privées des Romains ; il exprime ses regrets sur leur rareté. […] Ces lettres ne sont point datées dans les nombreuses éditions qui ont été faites des œuvres diverses de Balzac, elles paraissent être de 1620 à 1630, temps où Balzac était âgé de 26 à 36 ans, et la marquise de 38 à 48.